Tendo em conta a apresentação hoje (Escola D. António da Costa, 22h00) do espectáculo HOMK SALIM ou LA FOLIE DE SALIM, de Abdelkader Alloula, pelo grupo Troupe Théâtrale IBDAE, apresenta-se um perfil contextualizador do importante encenador argelino.
Abedelkader Alloula, une Personnalité de Théâtre Algérien et autant une Histoire
por Boubakeur Sekini (crítico de teatro, Argélia)
Dans un appétit dramatique, Abedelkader Alloula occupe une place à part : par son ampleur, sa pluralité et sa qualité, sa perpétuité aussi, ses uvres scéniques sont considérées comme une des grandes références réformatrices du Théâtre Algérien après l'indépendance. Natif d'El-Ghazaouat une sobre ville sise à l'ouest d'Algérie, né en 1939, Abedelkader Alloula a fait partie de cette génération d'expression dramatique. Auteur dramatique, metteur en scène et comédien, dont ses oeuvres sont situées à la croisée du monde Européen et Arabe.
Ses mises en scènes ont formé une poursuite continuelle aux événements qui palpent la société Algérienne, notamment les thèmes qui s'investissent au profit de la génération après-indépendance, afin de faire éveiller l'assiduité des consciences. Il se fait toute fois plus intérieure, plus poétique, qui véhicule une réflexion profonde sur la valeur de la parole et de l'action, en reflétant les grandes valeurs de l'existence.Il s'illustre avec un égal talent ; provocateur tant par son style que par son sujet, sa verve est un réquisitoire virulent contre l'assujettissement.
Abedelkader Alloula, une Personnalité de Théâtre Algérien et autant une Histoire
por Boubakeur Sekini (crítico de teatro, Argélia)
Dans un appétit dramatique, Abedelkader Alloula occupe une place à part : par son ampleur, sa pluralité et sa qualité, sa perpétuité aussi, ses uvres scéniques sont considérées comme une des grandes références réformatrices du Théâtre Algérien après l'indépendance. Natif d'El-Ghazaouat une sobre ville sise à l'ouest d'Algérie, né en 1939, Abedelkader Alloula a fait partie de cette génération d'expression dramatique. Auteur dramatique, metteur en scène et comédien, dont ses oeuvres sont situées à la croisée du monde Européen et Arabe.
Ses mises en scènes ont formé une poursuite continuelle aux événements qui palpent la société Algérienne, notamment les thèmes qui s'investissent au profit de la génération après-indépendance, afin de faire éveiller l'assiduité des consciences. Il se fait toute fois plus intérieure, plus poétique, qui véhicule une réflexion profonde sur la valeur de la parole et de l'action, en reflétant les grandes valeurs de l'existence.Il s'illustre avec un égal talent ; provocateur tant par son style que par son sujet, sa verve est un réquisitoire virulent contre l'assujettissement.
Il privilège le jeu de la mémoire populaire, et croise les traditions littéraires dialectales et classiques. Il était dès son jeune âge impressionné par le jeu de rôle, il a débuté sa vocation de performance théâtrale dans une troupe décoliers au sein de l'Ecole primaire El-Fallah en 1955, mais à partir de 1963 il s'est intégrer dans une troupe professionnelle au Théâtre National Algérie, dont-il était distribué dans : Les Enfants d'El-Kasbah, Hassane Tirou, El-Hayate Holm -La Vie est un Rêve-, La Femme Rebelle...
Sa première tentative de mise en scène était 1968 au Théâtre National Algérien, une pièce titrée El-Ghoula -qui s'explique par le Monstre ou la Chimère-. Et puis il a quitté Alger pour s'installer à Oran, il a mis en oeuvre la pièce El-Alegue et El-Khoubza (1970), en 1979 a adapté une pièce de l'auteur russe Gogol titrée Homk Salim -La Naïveté de Salim-... il a fait autant la mise en scène de plusieurs pièces, notant comme exemple : El-Agoual (1982), El-Adjouad (1985), El-Lithame (1989).
Sa première tentative de mise en scène était 1968 au Théâtre National Algérien, une pièce titrée El-Ghoula -qui s'explique par le Monstre ou la Chimère-. Et puis il a quitté Alger pour s'installer à Oran, il a mis en oeuvre la pièce El-Alegue et El-Khoubza (1970), en 1979 a adapté une pièce de l'auteur russe Gogol titrée Homk Salim -La Naïveté de Salim-... il a fait autant la mise en scène de plusieurs pièces, notant comme exemple : El-Agoual (1982), El-Adjouad (1985), El-Lithame (1989).
Alloula a exercé pareillement le poste de Directeur de Théâtre National Algérien (TNA) depuis 1972-1975, et après, occupant pour une durée d'une année -1976- le poste de Directeur de Théâtre Régional d'Oran (TRO). Sa vocation théâtrale la menée àtourner dans des films tel que El-Kilab (les Chiens), El-Tarfa (la Corde)... sa mort était le 14/03/1994 à Paris dans un Hôpital, suite à une hémorragie causée par des tires de balles le jeudi 10/03/1994 l'après midi...
Alloula a essayé d'instaurer une forme scénique proprement dit la Fordja à l'Algérienne, similaire à celle de Berthot Brecht... cette forme est inspirée des formes Para-Théâtraux, Populeux/Algériennes qui se déroulent dans les Marchés Hebdomadaires, tel que le personnage EL-GOUAL - le Narrateur- qui raconte une histoire en jouant les attitudes des l'héros et les situations des évènements, chaque scène est argumentée par des chants populaires, et encore la forme scénique de la représentation est circulaire afin darriver en fin à une sorte de distanciation auprès de laire de réception (salle)...
Cette méthode est toujours pratiquée en Algérie par des troupes de théâtre amateur, ils entreprennent de dessiner les humeurs insaisissable d'Alloula ; ses troupes recherchant ce qui provoque le vaste champ de la réforme scénique d'Alloula, qui est par excellence un langage figuré des termes habituellement, considérés comme des belles panoramiques d'engagement, chacune de ses mises en scènes engage le corps et la polyphonie des comédiens de manière totale, chaque spectacle est inspiré par le tumulte de l'ennui individuelle et l'histoire collective...
Alloula a essayé d'instaurer une forme scénique proprement dit la Fordja à l'Algérienne, similaire à celle de Berthot Brecht... cette forme est inspirée des formes Para-Théâtraux, Populeux/Algériennes qui se déroulent dans les Marchés Hebdomadaires, tel que le personnage EL-GOUAL - le Narrateur- qui raconte une histoire en jouant les attitudes des l'héros et les situations des évènements, chaque scène est argumentée par des chants populaires, et encore la forme scénique de la représentation est circulaire afin darriver en fin à une sorte de distanciation auprès de laire de réception (salle)...
Cette méthode est toujours pratiquée en Algérie par des troupes de théâtre amateur, ils entreprennent de dessiner les humeurs insaisissable d'Alloula ; ses troupes recherchant ce qui provoque le vaste champ de la réforme scénique d'Alloula, qui est par excellence un langage figuré des termes habituellement, considérés comme des belles panoramiques d'engagement, chacune de ses mises en scènes engage le corps et la polyphonie des comédiens de manière totale, chaque spectacle est inspiré par le tumulte de l'ennui individuelle et l'histoire collective...
Le théâtre d'Abelkader Alloula, est témoigné comme frontal avec le quotidien, un théâtre de masse et de narration, a une forme de scène excentrique à celui de la forme italienne, un théâtre qui s'inspire des formes théâtrales populaires et collationné avec des questions modernistes, un théâtre qui ne cesse dexciter lenthousiasme individuel, et dinterroger la place et le rôle de lartiste non seulement au sein de la société Algérienne mais aussi dans la globalité universelle.
A figura de Abdelkader Alloula e o seu papel no teatro argelino serão alvo de um debate que decorrerá no sábado, 16 de Julho, às 15h00, no Fórum Romeu Correia. O debate, organizado em colaboração com a Fundação Abdelkader Alloula, conta com a participação de Abdelhamid Abdaoui (Conselheiro da Embaixada da Argélia em Lisboa), Jamil Benhamamouch (Encenador), Marina da Silva (jornalista), Raja Alloula (Preseidente da Fundação Abdelkader Alloula) e Ziani Cherif Ayad (Encenador e ex-director do teatro Nacional da Argélia)
A figura de Abdelkader Alloula e o seu papel no teatro argelino serão alvo de um debate que decorrerá no sábado, 16 de Julho, às 15h00, no Fórum Romeu Correia. O debate, organizado em colaboração com a Fundação Abdelkader Alloula, conta com a participação de Abdelhamid Abdaoui (Conselheiro da Embaixada da Argélia em Lisboa), Jamil Benhamamouch (Encenador), Marina da Silva (jornalista), Raja Alloula (Preseidente da Fundação Abdelkader Alloula) e Ziani Cherif Ayad (Encenador e ex-director do teatro Nacional da Argélia)
Ver outros perfis de nomes relevantes no 22º Festival de Almada:
Carmelo Bene, por Pedro Manuel
Nick Dear, por Tiago Bartolomeu Costa
Toda a programação do 22º Festival de Almada pode ser consultada aqui.
Ver dossier OCUPAR O CORAÇÃO - O MELHOR ANJO NO 22º FESTIVAL DE ALMADA
Outros textos de Boubakeur Sekini publicados neste blog:
Le theatre Algerien - une quete entre les lignes
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